la guilde d’Altaride

Collectif ouvert d’écriture rôlistique

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Vers les djinns

vendredi 22 avril 2011, par Sophie Conteuse

Nakia et Kallicé partent de leur côté pour enquêter, je reste dans le marché à la recherche d’informations sur Saül et les plantes qu’il consommait pour ses visions.

La nuit suivante, mes compagnes projettent de rencontrer Keybrand. Ce Gangrel a hébergé le Nosferatu Aghir, un proche de Mère Adena.
Je préfère, de mon côté, rendre visite à l’herboriste qui fournissait Saül. Je demande à Joseph de m’accompagner, et en échange je ferai en sorte d’éloigner la goule de Nakia, afin qu’il puisse faire d’Argos sa goule.

Le temps que nous retrouvions la trace de Saül.
L’herboriste nous renseigne : son fournisseur est un Grec, Théocritos le jeune, il passe à Jérusalem tous les trois mois. Bon… Je me contenterai de cette information… Je prends congé de Joseph et vais rejoindre mes compagnes, chez Aghir.

En m’approchant de la maison, j’entends des hurlements venant d’une ruelle sombre. Je m’approche : une des goules de Nakia me menace de sa dague. Sa maîtresse la rappelle.

C’est alors que je découvre Nakia et ses goules occupées à arracher les ongles d’un homme, une goule apparemment, qui nous menace « Libérez-moi, ou ça va être terrible ». Il semble être au service d’un haut personnage… Je propose de garder la goule et d’aller me renseigner auprès de Cannabix, qui commence à bien connaître la cour de Mère Adena.
Quelques heures plus tard, je reviens avec mon infant, qui confirme : il s’agit bien d’une des goules d’Ishgar, chargée de nous surveiller. Kallicé et Nakia apprécient très moyennement d’être ainsi pistées, mais Cannabix et moi tentons de leur conseiller la prudence.
La goule est libérée. Il semble que Nakia se soit énervée contre la porte de chez Keybrand, vu son état. Kallicé me confirme : elle est passée en frénésie, ce qui n’a pas encouragé les gardes à lui ouvrir.
Nous nous rendons chez Argos, pour avoir des informations sur les djinns.

Joseph arrive, sur ces entrefaites, et évoque notre « accord ». Argos n’est pas d’accord, mes compagnes protestent, elles n’ont pas tort, je dois dire. « Vendre » Argos pour avoir le nom de l’herboriste…
Je suis une piètre négociatrice… et pas très loyale, il faut avouer, envers Argos qui comptait sur notre protection.

Joseph accepte (en traînant les pieds) de laisser Argos tranquille.
Au fil des nuits, Argos me raconte pas mal de choses sur le djinn. Notamment d’un d’entre eux, Ifrit, un « bon génie ». Et il me propose d’aller les rencontrer.

Dans quelques nuits.